L’avenir de l’hyppodrome de Montréal au service de l’écologie

L’avenir de l’hyppodrome de Montréal au service de l’écologie

L’avenir de l’hyppodrome de Montréal au service de l’écologie

L’hippodrome de Montréal joue un rôle important dans l’écologie à cause de l’entretien des écuries et l’élevage des chevaux. Mais depuis belle lurette, il rencontre des problèmes de gestion qui force la fermeture. En effet, « Attractions hippiques », gérant de l’hippodrome, a vu au fil du temps ses revenus diminuer à cause du transport de l’hippodrome de Montréal dans la couronne Nord. De ce fait, il a réduit les bourses et les courses de chevaux. L’écologie est donc durement impactée.

Les prémices de la crise

L’hippodrome de Montréal a un avenir assez critique et son impact au service de l’écologie sera réduit. Le gouvernement du Québec est dans une perspective de fermeture radicale de l’hippodrome de Montréal. Pourtant, ce dernier constitue 60 % de l’industrie des courses de chevaux. Pour plus d’informations, rendez-vous sur hippodrome-montreal.ca .

La question de la fermeture de l’hippodrome est en train d’être étudiée par le ministère des Finances et le propriétaire des quatre hippodromes (Attractions hippiques). Ce qui peut être la cause de la fermeture de l’hippodrome de Québec est la renégociation des termes des contrats de privatisation signés en 2006. Les pourparlers ont débuté lorsqu’Attractions hippiques s’est servi de la loi sur les Arrangements avec les créanciers pour se protéger en juin dernier.

Attractions hippiques était dans l’optique de faire un plan de redressement de l’entreprise. Ce plan doit être soumis en début février à la cour supérieure. Ainsi, les parties concernées se sont engagées dans des discussions interminables.

L’enlisement complet desservant l’écologie

Selon les informations, la mise hors service de l’hippodrome était prévue depuis 1906 (époque de Blue-Bonnets). Attractions hippiques pourrait ainsi être libérée de son obligation de transporter l’Hippodrome de Montréal dans la couronne nord, un projet qui avait rencontré de nombreuses oppositions.
 
En effet, 60% des courses de chevaux se tenaient à Montréal. Les fonds réunis par les courses de chevaux étaient d’une importance capitale pour les éleveurs et les propriétaires de chevaux. Ceux-ci les investissaient dans des écuries et le développement du cheptel équin. Ceci servait énormément aux intérêts écologiques.
 
Mais vu les obligations de Attractions hippiques, les courses de chevaux étaient réduites à l’hippodrome de Québec, de Trois-Rivières et d’Aylmer. Les bourses deviennent alors de plus en plus réduites.
 
Attractions hippiques s’est alors fondé sur les difficultés financières pour diminuer le montant des bourses ainsi que le nombre des courses durant une période donnée. Cela a provoqué des soulèvements au sein des associations des hommes de chevaux et des groupes au service de l’écologie.
 
Ces associations ont alors entrepris des actions judiciaires pour que les courses reprennent plus rapidement et que le paiement des bourses suit son cours. Les audiences se poursuivent et se poursuivront pendant dix jours au moins devant la Cour Supérieure.